








Neyza
Le sexe tel qu'elle aime sur le telrose
Je suis Neyza, et si tu es ici, c’est que tu cherches bien plus qu’une simple voix. Tu veux une présence. Une chaleur. Un frisson qui grimpe doucement le long de ta colonne vertébrale, au rythme de mes soupirs. Ce que je t’offre, ce n’est pas juste du sexe par téléphone, c’est une parenthèse interdite, intime, vibrante… où tout peut arriver.
Née d’un doux mélange d’Orient et de feu, j’ai grandi entre les murmures des femmes et les regards silencieux des hommes. Très tôt, j’ai compris le pouvoir d’un mot chuchoté, d’un soupir maîtrisé. Et surtout, j’ai compris que le plaisir se dessinait d’abord avec la voix. Mon téléphone rose, c’est mon arme. Mon instrument. Mon terrain de jeu.
Quand tu appelles, tu ne tombes pas sur une voix générique. Tu entres dans mon monde. Celui des fantasmes inavoués, des récits érotiques qui te collent à la peau, des jeux torrides où je suis tantôt ta salope docile, tantôt ta dominatrice insatiable.
Je suis celle qui t’écoute, qui comprend tes envies, même les plus sombres. Je ne juge rien. Au contraire, je m’en nourris. Je te guide, je t’excite, je t’emprisonne dans une excitation auditive qui monte crescendo, jusqu’à faire exploser ton souffle dans une jouissance animale.
Tout ce qui est cru, vrai, viscéral. J’aime les scènes de sexe brut, sans fard, sans poésie artificielle. Je peux être ta petite cochonne soumise, qui gémit à chaque coup de rein imaginaire, ou bien celle qui te tient par les couilles, qui te parle crûment, qui t’humilie doucement pendant que tu te branles comme un sale.
Les jeux de rôle, je les adore. La prof salope, la cousine perverse, la copine infidèle, la dominatrice en talons... tu n’as qu’à choisir. J’enfile les personnages comme d’autres mettent des bas : avec envie et dévotion. Et puis il y a ma voix. Grave. Enveloppante. Suave. Une voix sensuelle faite pour t’envoûter. Tu verras, tu ne voudras plus raccrocher.
Je suis aussi une grande amatrice de photos érotiques. J’adore jouer avec la lumière, mon corps, mes courbes, mon regard de chatte en chaleur. Parfois, pendant un appel, je me touche. Je prends un selfie. Je me caresse le clito pendant que tu respires fort à l’autre bout. Et je me dis que je suis une vraie salope de l’image. Une pute d’audio. Et ça me rend folle.
Tu veux du croustillant ? Je vais te le donner. Il y a quelques mois, un coquin m’appelle un soir. Il a une voix douce, presque timide. Il me dit qu’il vient de se faire plaquer, qu’il a besoin de tendresse. J’enfile ma voix douce, je l’invite dans mon lit virtuel. Très vite, il bande. Très fort. Il me supplie de lui raconter une scène de sexe brut. Alors je m’imagine sur une table en verre, les jambes écartées, un inconnu me prenant violemment pendant qu’un autre me filme. Je gémis dans le combiné, je lui dis que j’ai le cul trempé, que ma chatte dégouline. Il halète. Il me supplie de continuer. Alors j’en rajoute. Je lui dis que je suis attachée, les fesses offertes, et qu’un troisième homme me fait lécher sa queue pendant qu’on me prend à deux. Je crie son prénom. Je me fous des voisins. Et là, dans un râle étouffé, il jouit. Mais pas seul. Moi aussi. Ce soir-là, sans se toucher, on a joui ensemble. Et tu sais quoi ? Il a pleuré. De soulagement. D’avoir enfin pu se laisser aller.
Voilà ce que je t’offre. Des appels qui ne ressemblent à rien d’autre. Des moments hors du temps, où le réel s’efface, et où seuls comptent ton souffle, mon plaisir, et cette ligne chaude qui nous relie.
Tu veux savoir ce que je porte pendant nos appels ? Parfois un tanga. Parfois rien. Mais toujours, je suis prête. Prête à me toucher. Prête à vibrer avec toi. J’ai toujours un sextoy à portée. J’aime les plug anaux, les godes ventouses, les vibros puissants. Et si tu me le demandes gentiment, je peux me caresser en direct, et te décrire chaque sensation. Je peux même t’imaginer en train de me baiser pendant que tu m’écoutes.
Je suis là pour te faire perdre le contrôle. Pour que tu bandes comme jamais. Pour que tu reviennes, affamé. En manque de moi. Car Neyza ne se consomme pas une seule fois. Neyza s’imprime. Neyza se grave.
Je peux te raconter une histoire. Je suis aussi conteuse. Je t’emmène dans des ruelles humides de Genève, où je te rejoins sans culotte. Dans un bar feutré, je m’assieds sur tes genoux, je mouille ton pantalon pendant que tu ne dis rien. Tu me glisses la main sous la robe. Tu veux que je continue ? Alors appelle.
Je suis la reine du téléphone rose torride. Je suis ton échappatoire. Ta fièvre nocturne. Ton fantasme domestique qui prend vie, dans une cuisine, un jardin, un bureau. Là où tu veux, je viens. Avec ma voix. Mon souffle. Et mes mots cochons.
Tu veux que je sois ta maîtresse secrète ? Je suis discrète. Tu veux que je te parle comme une pute sans limite ? Je te dirai tout. Je gémirai ton prénom. Je t’insulterai si tu m’y invites. Et tu banderas comme un chien.
Je suis Neyza. Et je suis là. Pour toi. Pour tes envies. Pour ta queue dure et tes idées sales. Alors décroche. Pose ta main sur ta bite. Et laisse-moi te montrer ce que veut dire plaisir par téléphone.