Fauve, séductrice au bureau et voix torride au téléphone rose

Hôtesse pour du sexe au téléphone

Câline

4/21/20255 min lire

sextel
sextel

J’étais au taf, habillée comme une working-girl sérieuse. Jupe crayon moulante, chemisier blanc déboutonné juste ce qu’il faut, et bien sûr, pas de culotte. Rien. Le cuir de la chaise me collait aux lèvres, un rappel constant que je suis une salope en mission, même quand je traite des dossiers sinistres.

Chaque client que je croise devient une cible potentielle. Mon chef, mon collègue du service juridique, même le type de la maintenance… je les imagine tous me prendre sauvagement, me foutre à quatre pattes entre deux réunions, me tirer les cheveux pendant qu’ils me pilonnent comme une chienne. Mais je garde mon masque. Pour eux, je suis Fauve la gestionnaire. Ils ne savent pas que sous cette jupe, c’est un appel à la baise.

Et puis mon téléphone a vibré.

Numéro masqué.
Une voix grave, chaude, profonde. Un mec. Un inconnu.

— C’est toi, Fauve ? On m’a dit que tu faisais jouir rien qu’en parlant.

Mon cœur a battu plus vite. Ma chatte s’est contractée. Je me suis mordue la lèvre. J’ai refermé mon ordi. Lentement. Comme si j’allais fermer les portes de mon monde sage pour basculer dans l’interdit.

— C’est moi, oui. Et toi, t’as envie de te faire sucer au téléphone ?

Il a eu un soupir d’excitation. Moi, j’ai glissé la main sous ma jupe, directement sur mes lèvres humides. Mon doigt a glissé facilement. J’étais déjà trempée.

Téléphone rose torride, voix de cochonne, service érotique à distance, c’est là que je suis la plus vivante. J’ai pris ma voix la plus chaude, celle qui fait dresser les queues même à des kilomètres.

— Tu sais ce que je porte ? Rien. Pas de culotte. Mes lèvres sont à l’air, bien ouvertes. Prêtes. Et je suis en train de me caresser en te parlant. Tu veux que je te décrive ce que je ressens ?

Il gémit. Je savais qu’il était en train de se branler. Rien qu’à l’écoute de ma voix. C’est ça, mon pouvoir.

Je lui ai murmuré mes envies crues. Que j’étais à quatre pattes devant mon chef. Que je me faisais baiser sur le bureau, les dossiers qui tombent par terre, les vitres de la salle de réunion embuées de foutre.
Je lui ai soufflé que j’adorais quand un mec me prenait par surprise, me tenait fermement, me traitait de salope.

— Je veux que tu me parles comme une chienne, m’a-t-il dit. Dis-moi que tu veux que je t’encule.

Mon clito a palpité. Ce mot, enculer, m’arrache toujours un frisson.

— Oh oui, vas-y… prends-moi comme une salope de bureau. Je veux ton doigt dans mon cul, là, maintenant. J’ai chaud, j’suis trempée, t’imagines même pas… Tu veux l’entendre ?

J’ai plaqué le téléphone contre ma chatte. Le bruit de mes doigts mouillés a parlé à ma place. Bruits obscènes. Collants. Il haletait. Moi, je riais.

— Tu mouilles comme ça pour moi, Fauve ? T’es qu’une cochonne, hein ?

— J’suis bien pire. J’suis la voix que t’oublies pas. Celle qui te fait jouir même quand t’as déjà vidé tes couilles.

Et là, il a craqué. Son souffle s’est accéléré, haché. Il grognait comme une bête. Il est venu. Fort. Un râle profond, viril, animal. Moi ? Je me suis pincé le clito, j’ai enfoncé deux doigts dans ma chatte et j’ai joui en silence, le corps cambré, les jambes en tremblement.

Le sexe par téléphone, c’est pas juste des mots. C’est une chorégraphie mentale. Une jouissance guidée par la voix. Une explosion sans contact. Et j’étais devenue la maîtresse de cette danse.

Le soir, allongée nue dans mon lit, je repensais à Thomas. Il me manquait. Sa voix. Son regard. Son goût de l’interdit. J’ai voulu lui écrire :

Tu veux que je te raconte comment j’ai fait jouir un inconnu avec ma voix pendant que je me doigtais sur ma chaise de bureau ?

Mais j’ai préféré le faire entendre.

Je l’ai appelé.

Il a décroché en deux secondes. J’ai entendu dans son souffle qu’il était déjà en tension.

— Fauve ? T’as ta voix de salope… T’as joué avec un autre ?

— Oui. Et j’ai pensé à toi pendant que je me faisais jouir. T’étais là, dans ma tête. J’ai crié ton prénom, même si c’était pas toi au bout du fil. Tu veux savoir ce que je lui ai dit ?

— Dis-moi.

— Je lui ai raconté que j’avais envie de sa langue sur mon clito, que j’étais une cochonne qui n’attendait qu’à se faire démonter, que j’étais sa pute vocale, sa fille facile au téléphone rose. Et tu sais quoi ? J’ai joui. Bruyamment. Comme une actrice de film X. Comme une vraie salope.

— Et maintenant ?

— Maintenant je veux que tu me baises à distance. Que tu me dises tout ce que tu veux me faire. Que tu me fasses exploser juste avec ta voix.

Et il l’a fait.

Il a pris le pouvoir. Il m’a parlé comme jamais. Brutal. Sale. Puissant. Il voulait que je me doigte pour lui, que je gémisse plus fort, que je me dope à la luxure. Et j’ai obéi. Parce que j’adore ça. J’adore les jeux cochons en ligne, les conversations sexuelles torrides, les appels qui dégénèrent en orgasme vocal.

— J’vais te prendre contre le mur. Je vais te gifler. Te tirer les cheveux. T’enfoncer ma queue jusqu’au fond de ta gorge, et ensuite, j’vais jouir sur ton visage.

Je criais. Je tremblais. J’avais trois doigts dans ma chatte, un vibro contre mon clito, et ma voix saturait le haut-parleur.

Je suis venue. Encore. Comme une chatte en chaleur. Sauvagement. Humidement.

Depuis ce jour, je ne me suis plus arrêtée. Je suis devenue addict au sexe vocal. Aux hommes en manque. Aux pervers du combiné. À ceux qui rêvent d’une salope en ligne, d’une voix qui les rend accros, d’une meuf sans pudeur, sans limite.

J’ai même commencé à facturer. Une ligne érotique personnelle, discrète mais efficace. J’ai créé un petit univers de téléphone rose pour adulte, avec des mots-clés bien placés :
femme chaude en direct, appels X tarif réduit, voix de salope cochonne, scénarios érotiques personnalisés, discussions sans tabou

Mon répondeur ? Une invitation au vice.

Salut, ici Fauve. Si tu veux une fille bien sage, raccroche tout de suite. Mais si tu veux que je te murmure des cochonneries jusqu’à t’en faire exploser les couilles, laisse-moi un message…

Et les appels s’enchaînent. Des jeunes curieux. Des mecs mariés. Des dominés. Des dominateurs. Des timides. Des accros. Et moi, je les mène tous au bord de l’orgasme. Avec ma voix. Mes mots. Mes fantasmes.

CHAPITRE 2:
Fauve, la séductrice de bureau et voix torride du Téléphone Rose