Bizutage coquin après mon embauche
Partie de sexe avec mon patron
Je sors tout juste de l’université de droit. Titulaire d’un master 2 en droit civil, je rentre maintenant dans la vie active. Je viens d’être embauchée en tant que secrétaire juridique, depuis une semaine, dans une petite étude d’huissier. L’étude est composée de 2 femmes sur les postes de clerc d’huissier et d’un huissier de justice. Il se prénomme Maître Thomas. C’est lui qui m’a fait passé l’entretien. C’est un homme froid qui a l’air obsédé par son travail. Bien que de nombreux hommes ne peuvent s’empêcher de regarder ma forte poitrine, lui non. Lors de notre rendez-vous, j’ai bien senti que je ne lui faisais aucun effet. Cela m’a un peu vexée mais j’étais la pour obtenir un job et non un coup de queue. Donc ravie d’avoir obtenu le poste, j’ai pour objectif de m’investir à fond et de ne pas me laisser distraire.
Chaque jour, Maître Thomas passe devant mon bureau sans réellement me voir. Ça m’agace. Mon ego de femme sexy en prend un grand coup. Je n’ai pas de contact avec lui. Je travaille plus avec mes collègues féminines. 3 semaines que je suis sur le poste et aujourd’hui, ma collègue me demande d’aller voir Maître Thomas dans son bureau afin de lui faire signer un document. J’y vais sans aucun entrain. Je tape à la porte et il me répond d’entrer. Je ferme la porte derrière moi et d’une voix timide je lui dis que j’ai un document à lui faire signer. Cette attitude ne me ressemble pas. Aucun homme ne m’a jamais effrayé jusqu’à maintenant. Je collectionne les amants. Je sais dire les mots qu’il faut quand il faut avec ma voix séductrice. J’avance donc vers cet homme si charismatique et plein d’assurance. Il me regarde droit dans les yeux. Je suis complètement déstabilisée. J’ai les jambes flagadas. J’arrive enfin à côté de lui. Ces quelques pas m’ont parus durer une éternité. Je lui tends le document en question mais lui m’agrippe par la gorge. Avec son autre main, il arrache mon chemisier. Tous les boutons sautent. Je me retrouve en soutien gorge face à mon patron. Il attrape mon sein gauche et le malaxe avec beaucoup d’assurance. Il sait ce qu’il fait. Et cela me fait beaucoup d’effet. Il relâche sa main sur ma gorge, fait tomber mon soutien-gorge et commence à me lécher les seins. Pendant ces actes effrénés, je ne peux décrocher un mot. En fait, je savoure l’instant me demandant ce qu’il va faire de moi. D’un seul geste, il me soulève et me pose sur son bureau. J’ai senti une force herculéenne dans ses bras. Cela n’a fait qu’accroitre mon excitation. Il relève ma jupe, attrape mes jambes, arrache mon string et lèche ma chatte avec tellement de ferveur que je vacille. Je gémis, mais trop fort selon lui dans la mesure où il me colle sa main sur ma bouche. Je me tais et mords mes lèvres. Je vois que cela l’excite, à tel point qu’il rentre sa bite toute dure dans ma chatte humide. Je lui appartiens totalement. Il tient mes jambes et donne des coups de plus en plus fort au fond de ma chatte. Il me regarde droit dans les yeux. Il transpire le sexe, la confiance en soi et en même temps l’antipathie. Il baise comme un fou. Je me mords tellement les lèvres que je vais me les faire saigner. Je sens une grosse chaleur montée en moi. Je suis au bord de la jouissance. Heureusement il se retire et sans même que je comprenne ce qu’il m’arrive, il me retourne. Je le sens qui caresse mes fesses. Il me les claque, me les écarte pour mieux voir mon « petit trou » je pense. En tant normal, je déteste que les hommes me claquent les fesses. Cela me donne l’impression d’être leur salope. Mais nous n’avons pas eu le temps de parler de nos goûts sexuels avant cette baise bestiale. Je ne vous en tiendrai donc pas rigueur, Maître. Tout d’un coup, je sens son doigt dans mon cul et son souffle dans mon oreille. Il fait ça tellement bien. Je suis désorientée. Il remplace son doigt par sa queue et m’encule étonnamment avec douceur. Peut-être veut il savourer lui aussi le moment. Quoiqu’il en soit ses va-et-vient dans mon cul ont raison de moi et je jouis. Quelques secondes après, je sens du liquide couler le long de ma cuisse. Il m’avait rempli le cul avec son sperme. Il sort sa bite de mon trou. Je me retourne avec un sourire jusqu’aux oreilles. J’étais persuadée qu’il allait me rendre mon sourire (après tout c’est lui qui a amorcé cette partie de sexe), mais non. Avec ce même air froid et distant, il me tend un mouchoir. Je n’attends pas une demande en mariage. Au minimum un regard complice qui me permettrait de ne pas me sentir comme une chienne. Tant pis !
Le lendemain, je raconte cette baise brutale à ma collègue. A la fin de mon récit, elle me dit qu’elle a vécu la même chose avec Maître Thomas. Quel enfoiré ce mec ! En fait il baise toutes ses collaboratrices, comme un genre de bizutage.