Prolongation coquine d'une soirée
Soirée coquine
Mon ami Fred organise une petite soirée pour célébrer sa promotion. Il travaille dans une agence de publicité. Il n’a invité que quelques personnes : deux collègues du travail, Tom et Hervé, sa sœur et moi. Tout se déroule bien. Je connais déjà la sœur de Fred. Nous nous sommes croisés dans des soirées. Nous avons des amis en commun. Nous mangeons. Nous parlons. Nous rigolons. Tom se rapproche de moi. Je le sens. Il me touche la cuisse, me regarde avec des yeux brillants et me sourit à chaque bêtise que je dis. J’ai envie de répondre à ses avances. Je joue donc son jeu. On se murmure des choses à l’oreille. On se regarde avec insistance dans le blanc des yeux. Nos visages sont parfois si prêt l’un de l’autre qu’il semble que l’on va s’embrasser. Cependant, c’est la soirée de Fred et cela ne fait que quelques heures que l’on se connaît. Il est plus de 2 heures du matin. Tout le monde commence à être fatigué. Nous avons tous prévu de dormir chez Fred. Nous avons bu beaucoup d’alcool. Cela est plus raisonnable. Heureusement il a un grand appartement. Je peux ainsi avoir ma propre chambre. Je dis bonsoir à tout le monde et je vais donc me coucher dans la chambre qui m’a été attribuée. Une fois dans ma chambre, je me dénude et m’allonge avec hâte dans le lit. Au milieu de la nuit, je m’aperçois qu’il y a une personne dans mon lit. Je sens une main sur ma cuisse. Je ne suis pas du tout effrayée. J’allume la lampe de chevet et aperçois le visage de Tom. Je me jette sur lui et l’embrasse. Sa queue frotte ma cuisse. Cela m’excite beaucoup. Je me frotte de plus en plus contre lui. Je le plaque sur le lit et commence à parcourir son corps de baiser. J’arrive à sa queue. J’empoigne alors cette bite déjà dure. Je le branle. Je lèche ses couilles. Je le suce. J’ai tellement envie de lui. Il me murmure dans l’oreille que je suis belle et qu’il veut me manger la chatte. On se positionne donc en 69. Je mouille dans sa bouche. Je malaxe ses couilles pendant que je lui suce la bite. Je veux cette grosse bite au fond de moi. Je monte donc sur lui et rentre sa bite dans ma chatte. Je m’assois sur ses couilles et fais de petits cercles. Cela le met dans tous ses états. Je sens très bien sa queue. Je deviens folle d’excitation. Je commence à monter et descendre sur sa queue. Tom me malaxe les seins et tire sur mes tétons. Ils sont si sensibles. Tout d’un coup, j’entends la porte de la chambre s’ouvrir. Je me dis : « Mince. Nous n’avons pas été discrets. Nous avons fait trop de bruit. » Dans toute cette euphorie, le bruit était ma dernière préoccupation. J’arrête mes mouvements. Je tourne la tête et j’aperçois, dans la lumière de la lampe de chevet, Hervé qui s’approche de nous. Je suis sans voix. Tom me regarde avec un air coquin et me dit qu’il avait invité Hervé à nous rejoindre dans l’hypothèse où j’accepterai de faire l’amour avec lui. A peine m’a t’il dit ces quelques mots que Hervé se retrouve nu devant moi. Ohhhh lala! Il a une bite énorme. Je suis très impressionnée. Je la fixe pendant, ce qu’il me semble être de longues minutes. Il s’approche de moi. J’attrape cette large et longue bite et je le branle. Tout en le masturbant, je recommence à faire des petits cercles sur la bite de Tom. Hervé me met sa bite dans la bouche. Elle est tout au fond de ma gorge. Il manque de m’étouffer mais j’aime cette brutalité. Après quelques va et vient dans ma bouche, Hervé se retire et se place derrière moi. Je me demande ce qu’il va faire. Il appuie sur mon dos afin que je sois bien cambrée et je sens sa langue dans mon anus. C’est très plaisant. Je gémis, toujours installée sur la bite de Tom. Hervé me met un doigt dans mon cul. Ça me rend dingue. J’embrasse Tom en même temps. Tout d’un coup, je sens quelque chose qui pousse dans mon petit trou. C’est la bite de Hervé. Il m’encule. J’ai peur qu’il me fasse mal avec sa grosse bite mais en fait non. Il fait ça tellement bien. J’adore. En venant à cette soirée je n’aurais jamais pensé être pris en double par 2 hommes. Cette nuit est pleine de surprise. Mon cœur s’emballe. Je sens la chaleur montée dans tout mon corps. Je jouis. Je pousse un cri de plaisir. Ma jouissance communicative les fait décharger dans mes trous. Je n’ai jamais eu autant de sperme en moi. Quelle soirée ! J’espère que Fred n’à rien entendu.