Les aventures de Fauve, la salope du bureau à la pute du téléphone

Animatrice de téléphone rose

Câline

4/15/20255 min lire

Je m'appelle Fauve, j’ai quarante trois ans, une bouche qui ne sait pas mentir, et un tempérament à faire fondre la glace. Ce matin-là, je portais une jupe noire fendue jusqu’à mi-cuisse, mes bas résille bien tendus, et un chemisier blanc qui collait juste assez pour souligner ma poitrine naturelle, ferme et pleine de promesses.

Je bossais au cabinet depuis trop longtemps. Trop de paperasses, trop de sinistres, trop de types mous comme des éponges. Et puis lui. Le grand brun. Un regard bleu acier, le genre de regard qui te cloue au mur, qui t’effeuille sans les mains. Il était là pour un dossier. Moi, j’étais là pour sa queue.

Il s’appelait Thomas. Il m’a souri. Il avait cette voix grave qui descend droit entre les cuisses. Et moi, j’étais déjà trempée.

Je l’ai raccompagné à la porte, bien collée à lui, et au moment de lui tendre sa carte, j’ai soufflé :

— Tu veux que je t’aide à comprendre ton dossier ? Ou t’as besoin d’un service plus… humide ?

Son regard a changé. Il m’a déshabillée d’un clin d’œil. On n’était plus dans un bureau, on était déjà ailleurs.

Le soir même, il m’a appelée. Il m’a dit :

— Fauve, je veux t’entendre… j’ai besoin que tu me fasses du bien. Là. Tout de suite.

Et moi, experte des jeux vocaux, j’ai basculé dans le rôle d’animatrice de téléphone rose. J’ai enfilé ma voix de salope chaude et docile, celle qui te murmure des fantasmes dans l’oreille, celle qui te fait jouir sans que tu touches une seule partie de ton corps.

— Tu veux que je t’appelle mon salaud ? T’es mon client maintenant, non ? Je suis ta pute vocale. Dis-moi ce que tu veux. Je suis ton service à la demande.

Et il m’a répondu :

— Dis-moi ce que tu portes. Dis-moi ce que tu fais. J’veux t’entendre te branler.

Téléphone rose hot, ligne érotique, conversation X sans tabou… j’étais dans mon élément. Je me suis allongée sur le lit, j’ai écarté mes jambes, j’ai glissé deux doigts dans ma culotte détrempée.

— Je suis nue, Thomas. Complètement. Et là… je caresse mes seins. Mes tétons sont durs. T’en fais quoi, toi, de mes tétons ?

Il haletait. J’étais sa voix de fantasme, sa fille facile au téléphone rose, celle qui gémit comme une cochonne pour faire monter la température.

— Continue, putain, continue…

Alors j’ai obéi. Parce que j’aime ça. Parce que je suis une chaude au téléphone rose, une vraie salope quand il s’agit de faire jouir avec les mots.

Je lui ai décrit comment je me doigtais lentement, puis plus vite. Comment mon clito gonflait sous la pression. Comment je mouillais comme une chienne. Comment j’avais envie qu’il me la foute profond, sale et brutal.

Il est venu en gémissant mon prénom. Il a raccroché avec un souffle coupé, comme s’il avait vidé tout ce qu’il avait dans les couilles.

Et moi ? J’étais encore en manque.

Le lendemain, il m’a envoyé un message :
"Je veux plus. Pas juste ta voix. Je veux ta chatte."

J’ai souri. J’ai porté une robe sans culotte. Et je l’ai rejoint dans un hôtel au bord du périph.

Quand il a ouvert la porte, je l’ai poussé contre le mur, j’ai arraché sa ceinture. Je n’étais plus la gestionnaire sage. J’étais Fauve, la panthère du téléphone rose, celle qui se met à quatre pattes pour être baisée comme une garce.

Je l’ai sucé à genoux, comme dans mes appels coquins. Salement. Bruyamment. Avec la gorge bien ouverte.

— T’as aimé ma voix hier ? Là, c’est ma bouche qui bosse.

Il m’a tirée par les cheveux, m’a retournée, et m’a enfilée comme une brute. Ma chatte dégoulinait. Je criais comme une actrice porno sans filtre.

— Vas-y, bourre-moi, t’arrêtes pas ! Montre-moi que t’es pas juste un client au bout du fil !

Et il l’a fait. Il m’a pilonnée, m’a giflée, m’a traitée de petite pute de bureau. Et j’ai adoré chaque mot.

Ce soir-là, j’ai compris que j’avais trouvé mon binôme pervers. Il voulait que je lui parle salement tous les soirs. Il m’appelait depuis sa voiture, son bureau, sa douche.

Moi, j’étais la fille facile du téléphone rose, la voix chaude qui le rendait accro. Je lui racontais mes plans à trois, mes fantasmes d’esclave, mes envies de gangbang.

Téléphone rose gratuit pour adulte, service érotique en direct, fantasmes sans limite… Je cochais toutes les cases.

Parfois, je me branlais en direct pendant que lui se retenait de gémir dans un open space. D’autres fois, je l’appelais à 3h du matin, nue, les jambes écartées, avec un sextoy dans le cul.

— Tu m’imagines là, Thomas ? J’ai un gode dans le cul, un plug rose qui clignote. Et ma chatte dégouline pour toi.

Il jouissait en silence, la main serrée sur sa queue, pendant que je lui racontais comment un jour, je baiserai un inconnu dans les archives du cabinet.

Et j’en avais envie. Chaque jour un peu plus.

Je devenais une vraie obsédée. Une droguée du sexe vocal. Je traquais les clients chauds, les mecs en manque, les timides qui n’osaient pas parler mais qui rêvaient d’une voix de pute pour les libérer.

J’ai ouvert une ligne érotique personnelle, et j’ai commencé à monétiser mes talents. Téléphone rose français, femme chaude en direct, appel coquin tarif réduit… j’ai appris tous les codes.

Ma voix est devenue une arme. Un piège. Une invitation au vice.

Un soir, un client m’a dit :

— Je veux que tu m’humilies. Que tu me dises que je suis ton chien. Ton esclave.

Et je l’ai fait. Parce que je suis aussi ça. La dominatrice du téléphone rose, la salope autoritaire, cruelle et excitante.

Et Thomas, lui ? Il continuait de m’appeler. Mais on s’était mis d’accord : pas d’exclusivité. Juste du cul. Des appels. Des rencontres. Des plans crades.

Un midi, je l’ai fait jouir sous la table d’un resto. Un soir, je l’ai menotté à mon lit pour le chevaucher jusqu’à l’épuisement.

Et après ? J’ai repris mon téléphone. J’ai appelé un autre. Et je lui ai dit :

— Tu veux entendre une vraie salope ? Accroche-toi, chéri. Je suis Fauve, ta cochonne préférée au téléphone rose.

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