Le Kif sur ma boulangère sexy

Je baise au tel ma boulangère

Câline

7/6/20255 min lire

a woman in a red dress laying on a bed
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Je n’ai jamais cru aux matins magiques. Pour moi, chaque lever du jour était mécanique, sans éclat, sans surprise. Mais depuis que je me suis mis à fréquenter cette boulangerie de quartier, tout a changé. Pas pour le pain, ni même pour les viennoiseries – quoiqu’ils soient excellents – mais pour elle.

La boulangère. Cette femme plantureuse aux gestes précis, aux cheveux relevés dans un chignon toujours défait à la nuque, et au tablier qui ne cache presque rien de ses courbes généreuses. Chaque jour, son sourire m’ouvre l’appétit, et ce n’est pas pour la brioche.

Je me lève plus tôt maintenant. Pas pour travailler. Juste pour la voir. Pour prolonger ce plaisir simple et brut d’observer, d’imaginer, de désirer. Elle manipule la pâte avec une sensualité instinctive, naturelle. Ses bras un peu farinés, ses seins pressés contre le comptoir lorsqu’elle me tend ma baguette chaude... Tout, absolument tout chez elle m’électrise. Je fantasme sur ses gestes, sa voix rauque du matin, cette manière qu’elle a de rire en me rendant la monnaie, comme si elle savait.

Car je suis sûr qu’elle sait.

Elle me regarde comme un homme. Pas comme un client. Comme quelqu’un qui, peut-être, pourrait la prendre en silence entre deux fournées. Il y a dans son regard un mélange de défi et d’invitation. Ce petit frisson dans le dos quand nos doigts se frôlent. Son haleine chaude qui sent le sucre et la levure. Elle est là, debout dans ce temple des plaisirs simples, et moi je suis son fidèle, son obsédé du matin.

Mais je ne dis rien. Je garde tout pour moi. Et pour mes longues nuits.

C’est là que tout commence. Une fois rentré chez moi, baguette en main, je ferme la porte, je m’installe, et je me laisse aller à ce kif brut, cette obsession délicieuse. Elle est devenue mon rituel. Mon moment interdit. Et chaque pensée me pousse un peu plus loin dans l’excitation.

Je me connecte discrètement à mon site préféré, là où les hôtesses du sexe au tel pas cher prennent vie dans mon oreille. Là où les fantasmes s’épanouissent sans filtre, sans peur. Je choisis toujours celle dont la voix ressemble à la sienne. Chaude, pleine, un peu grave, presque masculine dans l’attaque, mais moelleuse dans la chute.

Je ferme les yeux. Et je la retrouve.

Dans ce monde parallèle, je suis le livreur, le boulanger de nuit, celui qui vient réparer son four. Je l’imagine en nuisette transparente sous sa blouse, les pieds nus sur le carrelage froid, les cuisses mouillées d’envie et les tétons déjà tendus. Je suis l’homme qui la plaque contre le mur, qui écarte sa robe de travail et qui glisse ses mains sur sa peau brûlante.

Je ne suis pas un simple client. Je suis celui qu’elle attend depuis des semaines. Le mâle sans manières, sans excuses, qui la prend comme elle aime : fort, animal, sans fioritures. Ce n’est plus une boulangère. C’est une salope en sueur, cambrée sur le plan de travail, haletante, offerte à toutes mes envies.

Chaque appel de baise tel me pousse plus loin. J’invente des scènes, des odeurs, des râles étouffés par le bruit de la machine à pain. J’imagine sa chatte coulante, gonflée, prête à exploser sous mes assauts. Sa bouche pleine, non plus de mots gentils, mais de gémissements rauques et de murmures tremblants.

Je jouis comme jamais. Et je recommence.

Ce fantasme n’est pas une passade. C’est un moteur. Une obsession charnelle qui s’infiltre dans mes pensées à chaque instant. Je la revois chaque matin. Et je repense à nos ébats imaginaires chaque nuit. La frontière entre le réel et le désir devient floue. Parfois, j’ai envie de lui parler franchement. De lui dire à quel point je la veux. À quel point ses gestes me rendent fou. Mais je me retiens. Parce que ce fantasme, je le possède entièrement. Il est à moi. Il est libre, brut, sans conséquences.

Et puis, dans ces instants d’abandon avec mes hôtesses téléphoniques, je retrouve quelque chose d’essentiel. Une liberté profonde. Celle d’être un homme sans masques, un animal en rut, un esclave de sa propre luxure. Le sexe au tel pas cher, c’est cette porte ouverte sur mes instincts. Pas besoin de performance, pas besoin de conquête. Juste moi, mon désir, et une voix qui me pousse à m’abandonner.

Je choisis souvent les mêmes formules. Des offres simples. Trois appels par semaine. Dix minutes par session. Juste ce qu’il faut pour nourrir le fantasme sans l’épuiser. Les packs de baise tel sont variés, mais je sais ce qui me convient. Je n’ai pas besoin de scénarios élaborés. Elle suffit. Ma boulangère. Mon obsession silencieuse.

Et puis un jour, elle n’était pas là.

Le rideau était baissé, un mot manuscrit affiché sur la porte : “Fermé pour la semaine, formation à Paris”. Mon ventre s’est serré. Une sensation de manque, de manque physique, presque douloureux. Je suis rentré chez moi avec un sentiment d’abandon. Elle me manquait déjà. Ses yeux, son sourire, ses hanches larges sous le coton épais.

Je n’ai pas attendu. J’ai appelé. Encore. Plus longtemps cette fois. J’ai même payé un forfait premium, pour retrouver sa voix, pour rallumer ce feu. La baise au téléphone, c’est devenu une drogue, un palliatif. Et je me suis rendu compte que ce que je voulais vraiment, ce n’était pas elle en soi. C’était le pouvoir de l’imaginer, de la façonner, de la dominer dans ma tête.

Les femmes réelles sont parfois trop pleines de mystère, de refus, d’attentes. Les femmes du téléphone, elles, s’offrent sans résistance, sans jugements. Elles se laissent malaxer, déformer, baiser mentalement. Et elles prennent un visage connu, celui de cette boulangère que je ne toucherai sans doute jamais.

Et c’est parfait comme ça.

Ma routine a repris dès son retour. Elle m’a salué comme si de rien n’était. Un clin d’œil. Un petit bonjour mielleux. Je l’ai regardée, les mains dans la farine, le décolleté en sueur. Et j’ai souri. Parce que je savais que, ce soir encore, je l’aurai. À ma manière. Dans le secret moite de mes draps froissés. Par l’intermédiaire de cette autre voix, lointaine, vibrante, sulfureuse, qui me parlera d’elle comme si elle me connaissait.

Je suis un homme simple. Je me lève, je mange du pain, je travaille. Et je baise au téléphone. Sans honte. Sans retenue. J’explore mes fantasmes les plus crus, mes pulsions les plus basses. Et tout part de ce regard échangé au comptoir d’une boulangerie. Ce jeu dangereux entre réel et fantasme, entre silence et bestialité.

Je ne crois plus aux matins sans magie. Depuis elle, tout est matière à fantasme. Même une miche. Même un éclair au chocolat.

Et dans l’ombre, entre deux tranches de pain grillé, il y a cette certitude : le sexe au tel pas cher, ce n’est pas une solution de repli. C’est un art. Une manière d’aimer sans bruit. De jouir sans honte. De vivre ce kif brut et délicieux, sans rien demander à personne. Sauf à moi-même.

Le Kif sur ma boulangère sexy
Je baise au tel ma boulangère