La Cliente coquine et salope qui voulait baiser au restaurant "Le Palais Trop Fin"

Baise intense au restau

Câline

5/25/20255 min lire

Il était presque minuit quand les lumières du restaurant s’éteignirent une à une. La salle s'était vidée lentement, laissant derrière elle le parfum persistant de truffes, de vins capiteux et de déceptions raffinées. À l’écart, seule à sa table, une femme restait là, jambes croisées, silhouette féline dans sa robe noire. Elle n'avait touché qu’à peine à son plat. Une bouchée, peut-être deux. Puis rien.

Son regard glissa vers la cuisine, d’où filtrait encore un halo lumineux. Elle s’y dirigea comme on entre dans une arène, ses talons résonnant sur le carrelage avec une assurance froide. Ce n’était pas la première fois qu’elle exigeait plus que ce qu’on lui avait servi. Mais ce soir, ce n’était pas qu’une question de goût. C’était une question de faim, de désir. Le genre de partie de sexe qu'on évoque par téléphone sur les services de téléphone rose et mais là on peut dire que c'était du telsex incarné.

Derrière les portes battantes, le chef était encore là. Seul, concentré, les bras nus, la chemise déboutonnée jusqu’au torse. Son tablier blanc contrastait avec la tension sombre de son regard. Elle s’imposa dans son espace, sans un mot. Leurs yeux se croisèrent, électrisés. Il n’y avait pas besoin de parler. L’excitation était brute.

Elle posa son sac sur le plan de travail, lentement, avec une lenteur calculée. Puis, elle glissa ses doigts sur une louche, une cuillère, un fouet, comme si elle effleurait les promesses d’un menu interdit. Le chef ne bougea pas. Il la regardait faire, les poings appuyés sur l’inox, le souffle à peine contenu.

Alors, elle grimpa sur la table en marbre, les cuisses écartées juste assez pour provoquer. Pas un mot. Mais tout en elle hurlait : sers-moi.
Et lui, sans attendre davantage, posa les mains sur ses hanches. Il avait compris. Ce qu’elle exigeait, ce qu’elle commandait, ce n’était pas un autre plat. C’était du sexe cru. Du sexe sans fioritures. Un fantasme trempé dans le vin rouge, cuit à feu vif contre la paroi carrelée de sa cuisine.

Ses mains glissèrent sous la robe, comme une pâte à pétrir, ferme et experte. Elle écarta les jambes davantage, se livrant au rythme de ses gestes précis. Le plan de travail vibrait à chaque mouvement de bassin. Il n’était plus question d’étoiles Michelin. Ce qu’il servait maintenant, c’était l’étoile au creux de ses reins. Un plaisir charnel digne des récits de téléphone rose.

Elle s’allongea, laissant ses cheveux cascader sur l’acier. Il l’écarta d’un geste sec et plongea son visage entre ses cuisses comme on goûte une réduction lente et enivrante. Sa langue glissait avec une expertise de sommelier du plaisir, flairant, savourant, maîtrisant l’équilibre entre douceur et puissance.

Elle haletait, les ongles cramponnés aux bords de la table. Chaque coup de langue était un appel au sexe pur, brutal, exquis. Ses gémissements se mêlaient aux cliquetis des ustensiles, aux bruits lointains du lave-vaisselle encore en marche. Le contraste entre la froideur du métal et la chaleur de son sexe était un supplice divin.

Le chef ne parlait pas. Il agissait. Il la servait avec une précision chirurgicale, les doigts dans sa bouche, sur son clitoris, en elle, partout. La cuisine devenait un théâtre de luxure. Il souleva sa jambe, l’agrippa fermement par la cheville, et la pénétra avec une lenteur incendiaire.

Chaque va-et-vient résonnait dans la pièce comme un métronome pervers. Elle se cambrait, tendue, offerte, envahie. Elle n’avait jamais goûté une telle brutalité contrôlée, une telle maîtrise. Son sexe brûlait, battait contre lui, trempé et dilaté. Le chef grognait, les veines de ses bras tendues, la sueur perlant sur ses tempes.

Elle voulait hurler, mais ses gémissements se perdaient dans le vacarme de leurs corps. Les bruits mouillés de leurs frottements, les coups de reins, le cliquetis des assiettes encore sales vibraient ensemble en une symphonie pornographique.

Il la retourna sans prévenir, la pencha contre l’îlot central. Ses mains plaquées sur le bois, elle sentit son sexe s’enfoncer en elle avec plus de force encore. Chaque coup était un claquement de vérité, une réponse à l’arrogance de son arrivée. Elle était servie. À genoux. À nu. Dégustée.

Ses seins ballottaient sous la cadence. Elle sentait ses fesses claquer contre le bassin du chef à chaque poussée. Une gifle charnelle, offerte et acceptée. Elle se cambrait davantage, cherchant à l’engloutir plus profondément. Ses jambes tremblaient, ses hanches s’ouvraient, son ventre vibrait.

Dans cette cuisine transformée en temple du sexe, tout se mêlait : les relents d’épices et de sueur, les bruits humides, les râles étouffés, les fantasmes devenus palpables. Il la tenait par les hanches, la pilonnant sans retenue, comme s’il fallait l’imprégner d’une sauce brûlante, jusqu’à saturation.

Il ne la ménageait pas. Son sexe dur et épais coulissait en elle comme une lame huilée. La sensation était pleine, dense, brutale. Son ventre cognait contre ses fesses, ses mains lui écartant les joues, lui tenant le bassin en otage. Elle s’abandonnait à cette prise virile, le front collé contre le plan de travail froid.

Puis, il la tira contre lui. D’un mouvement vif, il la souleva par les cuisses et la plaqua contre le réfrigérateur en inox. Sa langue vint laper sa sueur, goûter sa peau salée. Elle l’enlaça avec ses jambes, son sexe ruisselant glissant de nouveau sur lui. Il la pénétra en hauteur, la tenant suspendue, maîtrisée. Sa nuque heurtait le métal à chaque mouvement. Elle jouissait du contraste entre la morsure glaciale de la porte et la chaleur incandescente de son sexe en elle.

Son orgasme monta comme un feu de cuisine mal contrôlé : violent, irrépressible, sale et magnifique. Elle gémit en s’agrippant à lui, s’effondrant dans ses bras au moment où tout son corps fut secoué de spasmes incontrôlables. Ses cuisses se serrèrent autour de lui, l'enfermant dans une moiteur trempée de plaisir, de masturbation mentale, d’excitation totale.

Il la reposa avec précaution sur le sol, la fit se pencher de nouveau, ses fesses relevées, offertes. Il se masturba un instant en la regardant, le sexe luisant, ruisselant de ses fluides à elle. Puis il revint en elle une dernière fois, la pénétrant jusqu’au fond, gémissant à son tour. Il se vida en elle dans un râle rauque, l’empoignant, la clouant à sa place comme une viande bien saisie.

Un silence charnel s’installa. Ils restèrent là, haletants, transpirants, trempés de sexe et de fatigue, dans cette cuisine devenue sanctuaire de leur vice.

Elle se redressa, sans dire un mot, ajusta sa robe en silence. Ses jambes tremblaient encore, son sexe palpitait. Elle reprit son sac, glissa un regard par-dessus son épaule : un regard brûlant, conquis, indélébile.

Elle sortit par la porte arrière, disparaissant dans la nuit parisienne.

Le chef, lui, resta là un moment. Il nettoya les surfaces souillées, essuya les traces de foutre, de sueur et de passion sur l’acier. Il remit de l’ordre dans ce lieu qu’il avait toujours pensé dominer, mais qu’elle avait conquis.
Et il sourit.

La Cliente coquine et salope qui voulait baiser au restaurant "Le Palais Trop Fin"